Publié le 14 Octobre 2024

 

….fragment de Baie de Somme….

 

De quoi sont-ils le reflet

Les reflets passagers ?

Est-ce de la tombée de la nuit

Quand la lune tout-à-coup réfléchit ?

 

Il y a comme une trace d’ondes

Une volonté d’arrondir la mappemonde

Vois comme l’eau est malléable

Adoptant chaque idée confortable.

 

Ici le vert est dominant, c’est un vert-galant

Il s’efface devant l’oiseau errant

Lui dit bonjour, se plie comme un éventail

Il a l’âme sensible d’un vert-de-paille.

 

Ce petit jeune que voilà, dans quelle tribu est-il né ?

Est-il le fils de gallinule ou bien d’autres rallidés

Qu’importe, le fil d’eau tournoie et son reflet

Envoie par-dessus les ondes un monde parfait.

 

Carole Radureau (14/10/2024)

 

Inspirée par cette photo de Gianni

 

Les reflets passagers

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Rédigé par caro et hobo

Publié dans #Oiseaux-muses, #Gianni ou fragments de vie sauvage

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Publié le 12 Octobre 2024

Plume de cygnon trempée dans l’encre de lentilles vertes

Tant de choses seraient à dire

Hormis le contexte des oiseaux

Tant de mots, de paroles qui restent boqués

Dans le cœur, le ventre et l’âme

Comme inertes, cois, tranquillisés en apparence

Inadéquats ou inconstants

Bref ils sont dans l’incapacité de s’exprimer

L’ambiance est à couper la chique à tous les poètes telluriques

Ni la pierre, ni la rose, ni la fougère

Semblent les inspirer

Il n’y a que l’oiseau qui a pour lui

Ciel, ailes et liberté

Qui vient, l’oiseau, offrir son flanc aux vers

Tant de choses contenues qui ne sortiront sans doute pas

Comme si la colère n’existait plus

Que leurs abus nous avaient coupé la chique

Comme si nous étions traumatisés

Peut-être est-ce le cas

Sinon la peur de la censure mais ça, la poésie s’en moque

Car lorsqu’elle est en forme et qu’elle a les mots sur la langue

Elle peut contourner toutes les censures

Peut-être aussi tous les désagréments de la vie

Le virus, les maladies, tant de perturbations qui s’en viennent

Les choses d’une vie qui n’ont pas été réglées

Qui resteront maintenant lettre morte dans leur petite chambre de bonne

C’est vrai, il y a des portes qu’il vaut mieux

Ne plus ouvrir

Il faut laisser la place au moment présent

Les infos ne font que nous projeter

Les politiques ne font que nous projeter

C’est toxique mais ça emporte le chemin de vie vers le vide

Il faut trouver des points pour décompresser

Quand la destruction s’accélère

Quand ses effets délétères sont bien présents dans ce moment présent

Tout est inversé

Le fascisme va galopant dans les sphères politiques

Les personnes qui lui garantissent un bel avenir

Il faut sauver le capital et le fascisme, c’est l’idéal

D’ici jusqu’en Patagonie

De là jusqu’en Alaska le fascisme le fascisme, le fascisme est là

La terre n’a jamais connu cela, une terre gouvernée par des fascistes

Peu de pays relèvent la tête, avec difficulté, les mains souvent, liées

La déforestation fait rage, tout doit être arasé, c’est la consigne

L’Amazonie devient la savane

Les espèces disparaissent

Les feux font avancer les frontières

Ils ne démarrent jamais d’eux-mêmes

Les oppressions s’accélèrent, s’accumulent

Contre les défenseur(e)s qu’ils défendent le territoire, la vie, l’eau, la forêt, les droits humains

C’est la grande course à l’échalote pour les profits

A grand coup de guerres et de corruption, de mafias et de narcotrafic

Vive le fric ma Terre-Mère !

Tu n’en as que cure comme moi, mais c’est ça qui est à la mode

Tant pis pour tes arbres, tes oiseaux, tes fruits, ton eau et tous tes cadeaux

Il faut ralentir, tous accélèrent

Il faut la paix et la décroissance, eux accélèrent

Quand on ouvre la bouche pour dire des mots de Terre Mère, de Paix, de Justice et de Liberté

On est suspecté…..

 

Il faut parfois

Les mots, faire remonter

Quand c’est le moment, il faut y aller

Vidanger le réservoir de mots

Alors qu’avec cette encre de lentilles vertes

J’aimerais écrire un poème-recette doux et beau

Il verrait le cygnon écouler son temps comme un sable chaud

Qui glisse entre les doigts en crissant cri…cri…cri

Il évoluerait comme une caravelle qui ne part pas coloniser

Qui part pour admirer le monde

Et ne jamais rien ramener, ni poser le pied à terre,

Juste admirer de loin

Il se déplacerait comme un mouchoir de soie patiemment tissée

Une soie tissée si serrée qu’aucune goutte d’eau ne la transpercerait

Sa patte hors de l’eau pour la faire sécher

Ou pour reposer sa turbine

On le verrait se déplacer sans y croire

Sur le lit de lentilles vertes ou aucun sillon ne rêve

Tout se passerait en-dessous du plat de lentilles

Dans l’arrière-cuisine c’est-à-dire à la plonge

Là où personne ne va sauf les intéressés

La mécanique serait bien rôdée

Qui fait glisser le cygnon-mouchoir de soie

Sur son plat de lentilles d’eau

Non pas pour en faire une recette goûteuse

Mais pour en faire une recette-phare de l’ornitho-poésie.

 

Cygnon, ton teint duveteux, ta couleur pâle

Sont autant de coton et d’opale

Pour exiger du firmament :

Regarde par ici, c’est le moment de grâce

Où la Paix, la Justice, la Terre-Mère ont un véritable espace

Pour déclarer au tout-venant :

La Nature est notre Avènement.

 

Carole Radureau (12/10/2024)

 

Inspirée par cette photo de Gianni

 

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Rédigé par caro et hobo

Publié dans #Gianni ou fragments de vie sauvage, #Agate mousse

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Publié le 9 Octobre 2024

T – Fauvette-Tristounette

 

……fragments de Vivarais…..

 

Tristounette est la fauvette

Suivons son regard et devinons

Elle a laissé tomber sa figuette

Juste dans ce gros buisson.

 

C’était une figue à point

Comme elle les aime

Avec de jolies petites fibres

Et une couleur violette.

 

A peine y avait-elle goûté

Qu’un avion supersonique

A brisé le ciel en deux

Joué du tambour

Son dos s’est tout hérissé

Et son bec grand ouvert

A laissé tomber la figuette !

 

Ne pleure pas Tristounette

A la fin de ce poème

Tu seras rebaptisée

Car ton sourire revenu

Tu perdras ce nom triste et malvenu

Au profit de celui-ci :

 

Fauvette-ALaFête

Oui, à la fête, souris, soeurette

Car sur le net

La cagnotte ulule a prospéré

Et voici des figuettes à point 

Rien que pour toi

Dans une grosse cagette !

 

Carole Radureau (09/10/2024)

 

Inspirée par ces photos de Serge

 

T – Fauvette-Tristounette

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Rédigé par caro et hobo

Publié dans #Oiseaux muses, #Fragments de Vivarais

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Publié le 8 Octobre 2024

Le souchet, le souchet !

 

 

…..fragments de Baie de Somme….

 

 

Le souchet, le souchet,

A quoi on le reconnaît ?

Grâce au bec, grâce au bec

Ni pic, ni roc mais une péninsule…..

 

La péninsule ?

Mais laquelle ?

Celle du Yucatan qui se fait

Percer comme un gruyère

Pour y insérer les rails de la fortune

Des millionnaires ?

🤨 Feu les cenotes, l’eau réservée et la riche selva maya.....

 

La péninsule de Yamal en Russie 

Qui se fait percer pour y insérer

Les tubes approvisionnant le gaz ?

🤨 Feu la taïga et les rennes qui y paissent….

 

Non ce n’est pas une péninsule :

C’est une cuillère à pot

Une par laquelle on accède

A la marmelade, à la gelée de mûres.

 

Le souchet, le souchet !

Non, ce n’est pas non plus la plante

Qui vient parfaitement entrer

Dans les régimes sans gluten.

 

Ah !  mon souchet s’en fout de tout ceci !

Lui, il n’a pas de problème de gaz, de cenotes ni de gluten

Lui, il se prélasse sur l’eau calme en attendant

Les photographes

Son souci c’est le profil

Il faut qu’il le présente

Bien comme il faut.

 

Le souchet, le souchet !

Voilà !

Maintenant on est fixés.

Le souchet ce beau canard

Moins commun que le colvert

Un canard de surface barboteur, filtreur et

Voyageur

Avec sa belle palette de verts (que l’on ne voit pas ici)

Son bec/cuillère à pot, son charisme, son écho ;

Son cucul qui dépasse de l’eau

Quand il fait ses courses au casin’eau.

Bientôt il partira, il est peut-être parti déjà :

Reviens-bien vite, mon souchet

La Baie sur toi va compter

Les jours qui la séparent de ta pacifique présence.

 

Carole Radureau (08/10/2024)

 

Inspirée par ces photos de Gianni de canards souchet

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Rédigé par caro et hobo

Publié dans #Oiseaux-muses, #Gianni ou fragments de vie sauvage

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Publié le 2 Octobre 2024

…..fragments de Vivarais…..

 

Bleue dans la lumière rose

Un début de printemps

Habillé en automne

Alors que les premières couleurs

Habillent ton plumage

Le temps y fait à l’affaire.

 

Tite Bleue à sa toilette

Ni miroir, ni falbalas

Juste un bec

Pour lisser promptes et proprettes

Ses plumettes y mettre un peu d’ordre

« Toi ici, toi là, toi, tu es toute de travers…. »

 

La voilà maintenant toute belle !

Où sont ses yeux ?

Nous les devinerons

Tite Bleue toute neuve

Ce matin est timide

Elle est peut-être pudique

Mais jamais

Pudibonde.

 

Carole Radureau (02/10/2024)

 

Inspirée par cette photo de Serge d’une mésange bleue

 

Tite Bleue la Vivaraise

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Rédigé par caro et hobo

Publié dans #Oiseaux-muses, #Fragments de Vivarais

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Publié le 2 Octobre 2024

La fulgurance bleue

…..fragments de Baie de Somme….

 

Martin ce matin à son poste

S’anime

Scrute de tous ses yeux

L’onde vagabonde

Il a un petit creux

Se contenterait bien

De cuisses de grenouilles sautées

Avec un peu d’ail s’il vous plaît

Même un tout petit poisson

Lui irait bien.

 

C’est calme.

Il prend la pose sur son bouchon.

Le cadre est très « humanisé »

Ça ne sent pas son naturel

Quoique dans un parc protégé

Normalement l’oiseau prospère

Cela n’empêche pas Martin de bleuir

Son propos

De tendre sur son dos son plumage bleu-action

Avant de se lancer, fusée,

Fulgurance, dans l’onde, la brisant en deux

Ressortant prise au bec

Prise ensuite assénée contre le poteau

De gauche et puis de droite

Parce que, tout de même

Ca ne se fait pas pour Martin

D’avaler la proie vivante.

 

Carole Radureau (02/10/2024)

 

Inspirée par ses photos de Gianni d’un martin-pêcheur d’Europe

 

La fulgurance bleue
La fulgurance bleue
La fulgurance bleue

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Rédigé par caro et hobo

Publié dans #Oiseaux-muses, #Gianni ou fragments de vie sauvage

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Publié le 1 Octobre 2024

…..fragments de Vivarais….

 

 

Pur moment de poésie

Quand le ciel tout accompli

Inverse tendrement son propos

Le ciel à l’envers tout est dit

Et sur le sable du ciel repose

Le seau et la petite pelle.

 

C’est l’heure des châteaux de sable du ciel !

Non pas jaunes comme le soyeux grain de silice

Mais blanc et doucement duveteux

Comme le cœur intime des nuages.

 

Suivez les traces de la marée

Qui a déposé sur le sable son soutien-gorge

Sous chaque virage reposent de petits crabes roses

Qui en pincent pour vous.

 

C’est l’heure des imaginaires

Des tours de Pise renversées

Des châteaux de cartes éboulés

Des marées qui arrasent tout.

 

Le ciel s’est permit une gourmandise

Il a envoyé ses nuages à la mer

Pour cela il a renversé sa tarte tatin

Sans le caramel au fond (ça attache !).

 

Amusez-vous petits rêveurs

Ce soir il faudra, ça c’est sûr

Rentrer au bercail à l’heure du coucher

Car nounours a besoin de sable

Pour saupoudrer comme chaque soir de la vie

Les petites paupières encore émerveillées.

 

Carole Radureau (01/10/2024)

 

Inspirée par cette photo de Serge

 

Les châteaux de sable du ciel

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Rédigé par caro et hobo

Publié dans #Fragments de Vivarais

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Publié le 1 Octobre 2024

…..fragments de Baie de Somme…..

 

Voici que je me présente à vous

En ces temps devenus fous

Moi je pêche et point ne pèche

Je suis le prince ennemi des poissons

Quand je vous survole ma proie aux pattes

Nulle prise au vent

Ne me l’échappe

Je suis le prince-roi des airs

Et tant pis s’il faut pour me nommer

Jargon royal, utiliser.

 

C’était un moment fou

Un moment fou et doux à la fois

Quand un guide a dit

Non pas tout-bas

Voici le balbuzard pêcheur !

Toutes les têtes vers lui se sont tournées

Et un objectif qui nous permet de le voir ici.

 

Ce n’est pas chose commune

De voir ce prince à la pourtant

Si vaste répartition géographique

Lui aussi subit les pressions

Et quand il y a du poisson

Certains aiment se plaindre

De la concurrence (comme si !!).

 

Ce bel oiseau, ce magnifique

Tel un emblème n’en finit plus

De cumuler des exploits de poids

Quand sur le net défilent

Les photos de ses proies.

 

Rien ne lui fait peur

C’est clair, lui, il n’a pas froid aux yeux

De beaux yeux bien délimités

Cernés par le rimmel de la vie

Qui lui donne cette touche qui fait

Qu’on ne peut le confondre

Avec aucun autre.

 

Carole Radureau (01/10/2024)

 

Inspirée par ces photos de Gianni d’un balbuzard pêcheur au-dessus du parc du Marquenterre dans la Baie de Somme

 

voici la distance avec cette photo non zoomée puis en dessous les photos zoomées

voici la distance avec cette photo non zoomée puis en dessous les photos zoomées

Pêcheur et prince des airs
Pêcheur et prince des airs
Pêcheur et prince des airs
Pêcheur et prince des airs
Pêcheur et prince des airs

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Rédigé par caro et hobo

Publié dans #Oiseaux-muses, #Gianni ou fragments de vie sauvage

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Publié le 30 Septembre 2024

Georges l’Ardéchois au cœur fidèle

…..fragments de Vivarais….

 

 

Georges l’Ardéchois a coiffé sa poitrine

Il a peint le plus beau des orangés

Celui d’un ciel un soir d’été

Quand dans la vie plus rien ne bruine

Quand on ne songe qu’aux parts de rêves

A la gorge profonde des oiseaux

Et au délicieux chant qui en émane.

 

Car Georges l’Ardéchois c’est un chanteur

De l’Automne, discret mais pas tant

Car si l’on écoute bien, on l’entend

Tout au long de la journée.

 

Nulle concurrence pour Georges

Aucun autre ne viendra lui tenir

La dragée haute

Comme en été.

 

C’est lui le prince des grandes et petites ondes

C’est lui le prince des podiums

Avec sa nouvelle garde-robe

Et sa chansonnette

Georges snobe toutes les vedettes

Il est trop fort c’est pour cela qu’on le chante

C’est pour cela qu’on l’aime

Georges l’Ardéchois au cœur fidèle.

 

Carole Radureau (30/09/2024)

 

Inspirée par cette photo de Serge

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Rédigé par caro et hobo

Publié dans #Oiseaux-muses, #Fragments de Vivarais

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Publié le 30 Septembre 2024

Le petit castagneux

…..fragments de Baie de Somme…

 

Un petit pelucheux et sans queue

Qui se balade au gré de l’onde

Au loin, on ne le croirait pas précieux…

…..le castagneux.

 

Il plonge et sait pêcher sous l’eau

Que pêche-t-il ? on se le demande

En tout cas ni cacahuète ni amande

Il a un bon coup de filet….

…..le castagneux.

 

Il a aussi un regard tendre

Un petit côté « nounours »

On le prendrait bien dans son lit

Pour qu’il nous ferme les paupières

Le soir…..

…..le castagneux….

 

Pour embellir nos rêves

Faire des tourbillons dans l’eau des nuages

Accrocher des algues au revers de nos corsages

Nous picoter la joue à qui mieux mieux

Il pourrait tracer un sillon

Dans le marigot de la vie

Un sillon clair, net et précis

Une ligne à suivre derrière lui

Un chemin digne, fier et rebelle

Où ne manqueraient rien de ce qui nous guide

A le suivre c’est sûr

On ne pourrait qu’aller mieux

A le suivre….

…..le castagneux.

 

Carole Radureau (30/09/2024)

 

Inspirée par ses photos de Gianni de grèbes castagneux

 

 

Le petit castagneux

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Rédigé par caro et hobo

Publié dans #Oiseaux-muses, #Gianni ou fragments de vie sauvage

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