Le caillou veut être lumière. Il fait luire en l'obscurité des fils de phosphore et de lune. Que veut-il ? se dit la lumière, car dans ses limites d'opale elle se retrouve elle-même et repart. Federico Garcia Lorca
La violence crue explose dans la rue et sur le bitume elle pose sur les joues encore tendres sa force de persuasion. La violence gratuite effrite un à un les vases encore hésitants et la poussiè...
Ecoutez, si l'on allume les étoiles C'est quelles sont à quelqu'un nécessaires..... Le rouge de l'étoile Le blanc scintillant sur l'émail de ses dents Son sourire sincère Son bras qui pointe ...
le but c'est que chaque poésie s'emboîte dans l'autre......la dernière phrase sert de lien
…..je chanterais celui qui est la cause de tout
Pourtant on ne le cite pas
On l’oublie
Faisant partie totalement de toutes les vies
Père à la matrice pourrie
Sans cesse renouvelée dans sa perfidie
Père qui nourrit des fils bien gras
N’aimant pas le maigre
Père qui éduqua des fils avec l’envie, le désir de plus, la compétition, la corruption et tous les moyens sont bons
Père qui su tirer toutes les ficelles des marionnettes
S’alliant le sabre son frère de sang
S’alliant le goupillon son frère d’exclusion
Père qui ne comprenait que le tapis rouge déroulé sous ses pas et sous ceux de sa progéniture
Père qui enfanta tant de guerres
Tant de génocides
Tant de morts
Tant de misères
Tant de menaces pour la terre
Père qui exploita qui pilla qui pollua
De la terre-mère cette mère nourricière il en fit
Un cheval de bataille
Comme du corps des femmes
Ce père apprit à ses fils à la dominer à lui couper la parole à la souiller à l’avilir
A la faire rester à sa place
A en jouir et la jeter
A lui voler tous ses trésors de la surface jusqu’ au cœur
Ce père a donné du pouvoir aux rapaces que sont ses fils
Pour qu’ils croissent tant et plus
Ce père a donné du pouvoir aux charognards que sont ses fils
Pour se goinfrer jusqu’à s’en péter la panse
Car le capitalisme se réduit à cet unique mot
Son mot- clé :
CREVER.
N’oublie pas la cause du mal
N’oublie pas de lutter pour la MERE la terre
N’oublie pas que les heures se décomptent…..flop, flip, flap…..
N’oublie pas que lui le capitalisme il fonce
Il désagrège il digère il propage il dissimule il entreprend il cumule il fomente il cultive à son compte les racines du mal il surexploite il convoite il calcule il profite…..
Mais pour tout l’or du monde
Je copierais mille fois le chant de l’oiseau
Qui a mimé des mots d’or et de feu
Par NASA Ames Research Center/S. Molau and P. Jenniskens - http://solarsystem.nasa.gov/multimedia/display.cfm?IM_ID=843, Domaine public, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=133702 le ...
Par USFWS Mountain-Prairie — 8th Place - Mountain Lion, Domaine public, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=21102825
….félin pour l’autre….
Dans le désert
Et la sierra
Va,
Ombre sombre
Sableuse d’ombre
Pitaya le puma
Fruit sec
Dragon félin
Aux yeux perçants
A la voix rauque.
Va,
Pitaya
Sentinelle de l’Amérique
Le rocher est ta demeure
La roche est ta citadelle
La montagne est un phare
D’où tu surveilles
Toute vie.
Ondes précises
Comme un gant de velours
Soie de toute vie
Camouflée dans un buisson
Surgissant
Comme une foudre sur la fleur
Naissante
Va,
Pitaya
Fleur sauvage, étincelle
Ton aura est une étoile
Qui jamais
Ne s’éteindra.
Carole Radureau (28/08/2018)
Puma concolor
Continents : Amérique du nord et du sud
Portées : 2/3 BB jusqu’à 6
Repas : cerfs, lièvres, dindons, insectes, nandou….
Menacé : non, sauf la panthère de Floride et le puma argentin
image " 8th Place - Mountain Lion (7487178290) " par USFWS Mountain-Prairie - 8th Place - Mountain LionUploaded by Magnus Manske. Sous licence CC BY 2.0 via Wikimedia Commons - **** Cet animal ...
Une série de poèmes écrits à partir de l'été 2018, en m'inspirant pour les noms de la série des petites bêtes d'Antoon Krings, mais avec ma part d'originalité. Toutes sortes d'animaux, bea...
le but c'est que chaque poésie s'emboîte dans l'autre......la dernière phrase sert de lien .....je chanterais celui qui est la cause de tout Pourtant on ne le cite pas On l'oublie Faisant partie...