Le calliste diable-enrhumé

Publié le 24 Octobre 2019

Le calliste diable-enrhumé

 

 

La couleur bleue dessine une poésie

De calcaire et d’eau pure

Amusée

Par le rire

Des toucans.

 

Une touche de vanille habille

Ta poitrine

Comme une crème Mont Blanc

Renversée par

Tant de beauté.

 

Ton œil habite une étoile

Et son firmament est une canopée

Verte et bruyante qui clame très haut :

Ne me brûlez pas !

 

Carole Radureau (24/10/2019)

 

Calliste diable-enrhumé

Tangara mexicana

 

 

Rédigé par caro et hobo

Publié dans #Oiseaux muses

Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
A
Ne me brulez pas, quelle tristesse d'entendre ça, quand on pense à toutes ces merveilles de la nature...<br /> Il est très réussi aussi, celui-là et ton poème aussi coloré que le dessin!
Répondre
C
C'est la canopée (et la forêt) qui dis ne me brûlez pas, mais l'oiseau il est évidemment concerné si ça brûle. Ce matin j'avais encore un peu d'adresse pour dessiner mais là, c'est parti.....un problème de confiance.