La poésie sans fin : Et le capitalisme ?
Publié le 4 Décembre 2018
La poésie sans fin - En direct des étoiles - La minéralité expliquée aux cailloux
Ecoutez, si l'on allume les étoiles C'est quelles sont à quelqu'un nécessaires..... Le rouge de l'étoile Le blanc scintillant sur l'émail de ses dents Son sourire sincère Son bras qui pointe ...
http://caro.hobo.over-blog.com/2018/12/la-poesie-sans-fin-en-direct-des-etoiles.html
le but c'est que chaque poésie s'emboîte dans l'autre......la dernière phrase sert de lien
…..je chanterais celui qui est la cause de tout
Pourtant on ne le cite pas
On l’oublie
Faisant partie totalement de toutes les vies
Père à la matrice pourrie
Sans cesse renouvelée dans sa perfidie
Père qui nourrit des fils bien gras
N’aimant pas le maigre
Père qui éduqua des fils avec l’envie, le désir de plus, la compétition, la corruption et tous les moyens sont bons
Père qui su tirer toutes les ficelles des marionnettes
S’alliant le sabre son frère de sang
S’alliant le goupillon son frère d’exclusion
Père qui ne comprenait que le tapis rouge déroulé sous ses pas et sous ceux de sa progéniture
Père qui enfanta tant de guerres
Tant de génocides
Tant de morts
Tant de misères
Tant de menaces pour la terre
Père qui exploita qui pilla qui pollua
De la terre-mère cette mère nourricière il en fit
Un cheval de bataille
Comme du corps des femmes
Ce père apprit à ses fils à la dominer à lui couper la parole à la souiller à l’avilir
A la faire rester à sa place
A en jouir et la jeter
A lui voler tous ses trésors de la surface jusqu’ au cœur
Ce père a donné du pouvoir aux rapaces que sont ses fils
Pour qu’ils croissent tant et plus
Ce père a donné du pouvoir aux charognards que sont ses fils
Pour se goinfrer jusqu’à s’en péter la panse
Car le capitalisme se réduit à cet unique mot
Son mot- clé :
CREVER.
N’oublie pas la cause du mal
N’oublie pas de lutter pour la MERE la terre
N’oublie pas que les heures se décomptent…..flop, flip, flap…..
N’oublie pas que lui le capitalisme il fonce
Il désagrège il digère il propage il dissimule il entreprend il cumule il fomente il cultive à son compte les racines du mal il surexploite il convoite il calcule il profite…..
Mais pour tout l’or du monde
Je copierais mille fois le chant de l’oiseau
Qui a mimé des mots d’or et de feu
…..
Carole Radureau (04/12/2018)
La poésie sans fin : Le fil de l'étoile - La minéralité expliquée aux cailloux
Par NASA Ames Research Center/S. Molau and P. Jenniskens - http://solarsystem.nasa.gov/multimedia/display.cfm?IM_ID=843, Domaine public, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=133702 le ...
http://caro.hobo.over-blog.com/2018/12/la-poesie-sans-fin-le-fil-de-l-etoile.html
le poème suivant