Shina
Publié le 5 Janvier 2019
Je gambaderais dans les grandes prairies du ciel
Libre
A travers le champ de rose des étoiles
Vous voyez
Le souffle de ma conscience est une fleur qui sourit
Aux ardeurs de l’hiver
Le chant de ma résurgence est aussi fort que la chanson de la pluie
Chaque fois qu’elle arrivera à vos oreilles
Mon aboiement-sourire sera en vous comme jamais
Chaque fois que vous verrez l’oiseau au bec jaune mon messager
Je vous serrerais la patte si chaleureusement
Vous en serez émus.
Je serais heureuse dans cet univers où la rencontre des compagnons perdus
Est un jour comme aucun autre
Personne ne le sait mais ici c’est une fiesta sans nom
La paix dessinée sur nos corps a embelli nos âmes
Une douce lumière vient ambrer les souvenirs
Et un voile de tendresse se glisse tel un nuage
Sur la terre qui s’interroge.
Carole Radureau (04/01/2018)
A William et Sandy avec tout mon amour et ma tendresse, à Shina, ma petite Bouberte à qui je pense fort dans son voyage vers la grande prairie.