La poésie sans fin : La famille Fremont

Publié le 22 Décembre 2018

pétroglyphe de la famille, culture Fremont, Etats-Unis

pétroglyphe de la famille, culture Fremont, Etats-Unis

Il y a une profusion d’images qui sautent ainsi à la vue
Il y a une source chaude qui rassure la glotte
Et dans la grotte de la vie les mots n’existent pas

Il y a un papa et une maman
Et puis un enfant
Ils semblent en paix
Entourés par le petit caniche de la préhistoire
Les compagnons anthropomorphes
Nono le petit robot de l’an -1000

La cellule est soudée
Le début d’une histoire
Un air qu’il plaît à conter
Une chanson évidente

Tout fut fruit et germination
Tout était pérennité
Non pas que l’on calculât
Non pas que l’on programmât
Non : il fallait s’adapter à ce qu’envoyait
La vie

On était famille comme le mammifère l’était
On vivait au sein de sa famille
Comme les autres êtres vivants
Et pourtant
L’attachement
Et pourtant
La tendresse
Et pourtant
L’équilibre

Il y a une joie pure dessinée sur la paroi
Il y a comme une lueur d’amour
Fusant telle une étoile déclarée universelle…..

Carole Radureau (22/12/2018)

Rédigé par caro et hobo

Publié dans #Peint à l'ocre rouge

Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
A
Improbable petit caniche, je pense plutôt à un bouc ou une chèvre mais j'adore ce poème tout tendre et chaleureux et surtout ta façon de raconter l'image avec ton imagination et ta verve débordantes.
Répondre
C
J'ai trouvé que la chèvre était coiffée à la "zazou".....c'est pour cela qu'elle ressemble au caniche. Bon, maintenant il faut enchaîner sur la suite......